Monsieur le Premier ministre,
Le corps d'armé de Côte d'Ivoire dit "FDS" vient une fois de plus de dés-honorer l'Armée, les institutions, le peuple de Côte d'Ivoire, les militaires dans leur ensemble, la mémoire du Président fondateur, ainsi que celle du Président légitimement élu et de son gouvernement.
L’accueil fraternel de nos femmes de côte d'ivoire lors de la marche pacifique a coûter la vie à neufs d'entre elles, ainsi qu'à un enfant.
Sans doute auraient t-elles choisi de fuir, au lieux de fêter des "FDS" qu'elles croyaient être leur protecteur.
Cible facile et sans défense, devant des lâches, fuyant la colère populaire à mains nues, aussi tôt leur macabre mission accomplie.
NIER COMME LE FAIT GBAGBO ET SES CRIMINELS, DES-HONORE NOS MORTS.
L'armée étant le garant des libertés et des citoyens, les Ivoiriens ne peuvent plus de ce fait, se reconnaître en ces "HOMMES du FDS" qui assassinent, sans communes mesures leurs mères, leurs femmes et leurs enfants, impunément.
Pour que ces nouvelles pertes en vies humaines ne tombent pas dans l’oubli !
Par votre voix, Il appartient au Président de la république, légitimement élu, et reconnu par 54% de ses citoyens, ainsi que de la communauté internationale et EN SA QUALITÉ DE CHEF DES ARMÉES, de prendre ses responsabilités,
comme il a toujours su le faire. ET DE PRONONCER LA DISSOLUTION DE CE CORPS MILITAIRE qu'il ne contrôle pas dans son intégralité ET QUI FAIT HONTE A LA CÔTE D’IVOIRE.
Ainsi les 62% de FDS qui ne ce reconnaissent pas dans les crimes commis sous cet uniforme, pourront se dissocier des assassins à la solde de gbagbo, être lavés de tous soupçons et se rallier à votre cause.
POUR UNE COTE D'IVOIRE JUSTE, LIBRE, INDÉPENDANTE ET UNIE.
FRATERNELLEMENT
Une membre de la maree Blanche pour la revolution orange!
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