GBAGBO LE GANGSTER
Quand il était môme, il jouait aux pirates avec ces frères.
Un petit enfant de six ans, nous disait son père.
Avec son beau cartable pour le CP1.
Mais déjà en classe, il volait les crayons de ces voisins.
Sa mère le défendait parce que ce n’était qu’un gamin.
Mais un adage dit ; « Qui vole un œuf, volera tôt ou tard un bœuf »....
Aujourd’hui il est politicien.
Le voilà devenu notre ennemi numéro 1.
Le pire cauchemar des ivoiriens
Avec lui, ta vie est en danger même quand tu ne dis rien.
GBAGBO LE GANGSTER
Criminel pour ces affaires
Pour des plaisirs éphémères
Il sème la désolation et la misère.
Pour lui, nos ancêtres n’ont pas assez souffert.
Ils auraient du combattre l’univers.
Au lieu de pactiser avec les autres que nous appelons nos frères.
Même si à 45 ans certains de nos grand frères,
Dorment encore dans le salon de leurs pères.
Avec un programme bien chargé :
Très tôt dans la journée
Racketter le tonton du quartier.
A midi, le bon garba chaud de l’ahoussa d’à coté.
16 heures, si ce n’est pas awalé, c’est le damier.
Pour gbagbo le gangster
C’est une très bonne affaire
Puisqu’il y aura toujours du mouvement,
Dans ces agoras et parlement.
Pendant dix ans,
Il n’a fait que parler à tout moment.
Pendant qu’il vole notre argent,
Et fait couler les larmes de nos parents,
En tuant leurs enfants
C’est le même qui accuse nos voisins et l’occident.
Pendant ce temps,
Blé goudé est plus riche que le fils d’un sultan
Je ne te parle même pas d’affi n’guessan
Pendant que leurs enfants fréquente dans les grandes écoles en France
Ils nous demandent de vivre dans la souffrance
Je me demande si Konaté Navigué
Et sont compère blé goudé
Ne traversent-ils pas une crise de démence ?
GBAGBO LE GANGSTER
Le chef du clan,gbagbo laurent
Avec sa bande de corbeaux
Ils font la une de nos journaux
Chaque soir dans l’édition du soir
On revoie encore et encore des têtes en noir.
A soixante cinq ans, son casier judiciaire est plein à craquer
Vole à main armée
Viole, crime ensanglanté.
Le nouveau carnivore de la cité
Le loup qui dévore même les bons bergers.
Man je te le dit ;
Il n’y aura pas de juge, ni même un avocat
Pour défendre ton cas
Tu ne moisiras pas non plus au trou à la Maca
Mais le jour de ta mort,
Nous n’aurons aucun remord
Seulement des larmes stériles pour ton âme qui dort
Ce sont tes parents qui feront peut être une prière
Pour ne pas que cette malédiction s’abatte sur l’un de tes frères.
DOHOUN ARNOLD WIHONDJA SERAPHIN
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