jeudi 3 mars 2011

L`appel du Commando invisible : "Frères d’armes, le pays nous appelle !"

- Frères d’armes, notre pays, la Côte d’Ivoire vit, depuis au moins dix ans, une grave crise sociopolitique qui l’enfonce davantage dans la misère et le chaos. Pour elle – la Côte d’ivoire-, nous tombons chaque jour au front, nos familles soufrent ... Deux clans d’hommes politiques imbus de leur dignité et avides de pouvoir tiennent le peuple et tout le pays en otage et, comme des Seigneurs de guerre qui règnent sur leur lopin de terre, accentuent la fracture politique, ethnique et religieuse.

Les nombreux accords signés depuis l’enlisement de la crise, de Lomé à Ouaga, n’ont pas connu le succès escompté du fait de la haine viscérale qui oppose les acteurs de la politique en Côte d’Ivoire. La preuve : les récentes élections présidentielles qui étaient censées mettre un terme définitif à la crise ont, au contraire, exacerbé les tensions et radicalisé les positions. Les Ivoiriens sont dans la rue au lieu d’être au travail. Ils sont dans la crainte au lieu de vivre la paix intérieure. Leurs corps jonchent les rues de nos villes. Des innocents, toujours plus nombreux, paient le prix de leur lutte pour le pouvoir.
Nous, Forces de Défense et de Sécurité de Côte d’ivoire, sommes au bord de l’humiliation par l’intervention de forces étrangères pour redonner de la dignité aux institutions de notre pays. La côte d’ivoire s’enlise dans la crise et s’engouffre dans ce que nous avons toujours redouté : sa ″rwandisation″.
Allons-nous regarder une poignée de politiciens sans foi ni loi détruire ce pays qu’ils n’ont pas construit ? Allons-nous assister impuissants au pillage de nos ressources nationales et aux assassinats massifs ou ciblés de nos amis, de nos enfants, de nos femmes et de nos frères ? Allons-nous continuer à regarder, impuissants, les souffrances des familles endeuillées de nos frères d’armes ? Jusqu’où allons-nous pousser le ridicule de notre apparente incapacité à prendre nos responsabilités devant le drame qui se déroule sous nos yeux ?
Frère d’armes, vaillant soldat et serviteur dévoué de la Patrie, la Côte d’Ivoire, en fonction, en exil, ou forcé d’être à l’ écart, ton pays t’appelle à son secours. Souviens-toi que rien, absolument rien, n’est au- dessus de la Patrie. Le Pays d’abord ! Les hommes après. L’Armée n’est pas au service d’un homme ; elle est au service de la Nation.
La Côte d’Ivoire éternelle, ″terre d’espérance, pays de l’hospitalité, modèle d’espérance promise à l’humanité″ n’appartient ni à Laurent Gbagbo ni à Alassane Ouattara. Le pays ne saurait vivre au rythme des humeurs de deux mortels qui sont poussière et qui, un jour, retourneront à la poussière. Nous aussi, nous sommes des Ivoiriens. Nous aussi nous voulons voir grandir nos enfants. Le sang a trop coulé sur cette terre d’Houphouët-Boigny. Cela suffit ! Trop, c’est trop !
Il y a un temps pour toutes choses ici bas. Le temps est venu de mettre de l’ordre dans la maison Ivoire. Le temps est venu de libérer nos compatriotes. Le temps est venu pour une nouvelle génération d’Ivoiriens sérieux et conscients de prendre en mains le destin de notre pays. La Côte d’Ivoire a besoin d’une nouvelle classe de dirigeants pour la remettre sur le chemin du travail et du progrès dans l’union et la paix.
L’Armée ivoirienne a l’historique devoir de prendre ses responsabilités et libérer le pays de la dictature, de la forfaiture, des nombreux crimes de tous ordres et de remettre le pays sur les rails de la démocratie. Pour cela, il nous faut :
1. Prendre le pouvoir d’Etat pour mettre en place une transition de deux (2) à trois (3) ans.
2. Mettre en place le Mouvement des Forces de Défense et de Sécurité pour la Libération de la Côte-d’Ivoire [MFDSL-CI].
3. Associer à la gestion de la transition toutes les forces vives de la nation, notamment les organisations de la société civile qui ont jusque-là été tenues à l’écart du processus de réconciliation nationale.
4. Contraindre toute la classe politique actuelle, directement impliquée dans la crise, à se retirer de la scène politique.
5. Travailler à la moralisation de la vie politique et à l’instauration d’un dialogue national en vue d’une réconciliation véritable.
6. Œuvrer au désarmement effectif des forces belligérantes et à la réunification totale du territoire national.
7. Organiser des élections justes, transparentes et équitables.
Frère d’armes, ta Patrie te réclame. Si tu aimes ton pays, si la vie humaine a encore une valeur à tes yeux, si tu es encore un homme d’honneur, alors fais ta part de sacrifice. Assume ta part de combat. C’est le moment d’agir. Après, ce sera trop tard. L’Histoire ne te le pardonnera jamais.

La Patrie d’abord !

Capitaine Aka
Forces de Défense et de Sécurité de Côte d’Ivoire

1 commentaire:

  1. je dis a mare blanche d'anocer cette nouvell
    sure toute les blog RHDP
    jesuis un ivoirien qui vie plus de 10ans en afrique central donc j'ai vue comment les angolais on massacrer les population civil que jesuis entrin de voire les meme senarion a abidjan donc prener gard car ce son des gent qui tire sure tou ce qui son dans des quartier favorable a ADO ils consider tou ce qui vive dans des quartier favorable a alassane come des rebbel j'ai vue comment ils on massacrer les population d'une comune kinshasa n'djili ils son bombarder la comune avec des raide aerien et aussi les artierie lourd parceque la comune abritai les rebel con mon cher frere ou que tu soi dan les endrois conue favorable a alssane arme toi ne dis pas que non moi jesuis civile le jour ils von opere dans votre quartier ils von tuer tou les jeunne qui peu porter une arme sans distection ou tu te defenc ou ti quite abidjan ci non je te le juire ils von vous massacrer je vecue ca a brazzavile et aussi a kinshasa ou les angolais et les zimbabein on bombarder les periferique de l'aeroport en 1998 sans distenguer les population donc mon frere a koumassi ou a abobo treche ville yopougon wassakara ou porbouet2 adjame vous ete considere come des rebel veu ou pas ils von massacrer tou les jeunne qui se touve dans ces endrois cite mieu tu te defend en c'arment ou mieu ti quite les zone qui son viser par gbagbo et ces mercenaire angolais et les micien liberien DANGER....DANGER....DANGER
    ALERT......ALERT.....ALERT

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